Mr Macron en qualité de ministre avait inspiré des lois de régression sociale : celle qui porte son nom et la loi travail à laquelle la FSU s’est fortement opposée il y a un an avec une partie des confédérations syndicales.
Mr Macron Président voudrait mener une politique accentuant toujours plus la destruction de nos acquis sociaux par son programme : mettre fin aux 35h, « réformer » la protection sociale, diminuer le nombre de fonctionnaires, aller encore plus loin, par ordonnances, dans la casse du code du travail.
Nous pouvons nous attendre à ce qu’il amplifie une politique d’austérité pour les salariés, au nom de la liberté d’entreprendre, de la rigueur et de l’équilibre budgétaire.
C’est justement cette politique qui a été rejetée par une très grande partie des citoyens.
En cette période de crise, la FSU-Finances souhaite que soient mises en avant les valeurs de tolérance, d’échange et de partage, qui sont fondamentales.
La solidarité et l’égalité des droits pour toutes et tous, la valorisation du service public tant décrié, la défense de nos statuts, de l’emploi, des salaires, des retraites et des conditions de travail, la défense des libertés démocratiques, sont au cœur de nos préoccupations.
Nous continuerons par la force du collectif à les défendre.