La représentativité des organisations syndicales dans la fonction publique en général et à la DGFIP en particulier renvoie à des règles bien particulières.
Et les syndicats réputés représentatifs à la sortie des urnes acquièrent de nombreux droits. Outre celui de siéger dans les organismes consultatifs que sont les CTL, les CHS, les CDAS et les CAPL, ces organisations syndicales représentatives ont le droit d’accéder aux locaux syndicaux, d’organiser des HMI (heures mensuelles d’information) ou bien encore de procéder à des visites des services de leur ressort géographique.
A l’inverse, sans cette représentativité, tous ces droits leur sont refusés. Est-ce équitable ? Est-ce dans l’intérêt des agents ? Le réponse à ces deux questions est non.
lisez la suite et signez massivement la pétition !
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Les prochaines élections professionnelles dans la fonction publique auront lieu en fin d’année 2018, et les premiers groupes de travail se réunissent déjà… en excluant les organisations syndicales réputées non représentatives. Alors même qu’elles sont censées toutes concourir à égalité l’année prochaine. Qu’en pensez-vous ? Est-ce normal ? Dans l’intérêt de qui ?
Ci-dessous, vous trouverez la démarche intersyndicale initiée par la FSU-Finances, la CFE-CGC Finances et la FGAF-Finances: