Ils sont plusieurs, membres de la FSU, de la CGT et de Solidaires, ainsi que chercheurs et chercheuses, à dénoncer la disparition des CHSCT. Car pour eux : « Dans une période où les questions de santé sont les plus prégnantes, où l’actualité nous rappelle sans cesse la « crise du travail » et ses conséquences sur les travailleurs (accidents du travail, maladies professionnelles, amiante, pesticides, mal-être, burn-out, suicides…), le CHSCT est le seul lieu dans l’entreprise où la réalité du travail peut être approchée. »